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Zoom sur les diagnostics obligatoires

Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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Découvrez ce que nos clients satisfaits disent de nos services de diagnostic immobilier.

Chris C.

Très professionnel . Bonne connaissance du métier . Le technicien est très pro et vous explique bien le déroulement . Disponibles pour répondre à toutes vos questions ce fut très agréable de faire intervenir Activ expertise

Manon T.

Réactivité au top ! Tant dans la venue pour le DPE que dans le compte rendu ! Merci beaucoup !

Louis L.

Je n'ai rien à rajouter. Cordialement Mr LANDRY

Activ'Expertise Orange

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À LA UNE
Les étapes suivantes après un diagnostic amiante positif
21 novembre 2025

Les étapes suivantes après un diagnostic amiante positif

omprendre les enjeux d’un diagnostic amianteUn diagnostic amiante a pour objectif d’identifier la présence éventuelle de ce matériau dangereux dans les bâtiments anciens, particulièrement ceux construits avant juillet 1997. L’amiante, pourtant interdit depuis cette date en France, persiste dans de nombreux logements, principalement dans les installations anciennes où il a longtemps été utilisé pour ses propriétés isolantes et sa robustesse.Quels sont les endroits où l’amiante se cache le plus souvent ?La découverte de fibres d’amiante peut concerner différentes parties d’un bâtiment. Trois zones sont fréquemment identifiées comme à risque :Les isolations thermiques : Souvent utilisées pour protéger les canalisations et équipements de chauffage, ces matières peuvent se présenter sous la forme de manchons autour des tuyaux ou de couches fibreuses. Elles se trouvent fréquemment dans les sous-sols, chaufferies ou locaux techniques. Avec le temps, ces éléments s’abîment et libèrent alors des fibres dans l’air, mettant en danger la santé des occupants.Les toitures et revêtements extérieurs : Sous forme de plaques ondulées ou de panneaux en fibrociment, l’amiante a longtemps servi dans les toitures, façades ou annexes. Son aspect caractéristique : une teinte grise et granuleuse, souvent accompagnée de traces d’usure ou de mousses. Tant que le matériau reste intact, le risque de diffusion de fibres reste limité.Les revêtements de sol et colles : Les dalles vinyles utilisées dans les habitations datant des années 1960 à 1980 intègrent fréquemment de l’amiante, notamment dans la colle qui les fixe. Attention, le danger survient lors de travaux comme le ponçage ou l’arrachage, car les fibres alors libérées ne sont pas perceptibles à l’œil nu.Le résultat positif : que faire après un repérage d’amiante ?Lorsque le diagnostic révèle la présence d’amiante, il convient d’adopter une attitude rigoureuse. Plusieurs démarches sont à prévoir afin d’assurer la sécurité de tous :Évaluer l’état des matériaux : Il faut tout d’abord déterminer si les matériaux contenant de l’amiante sont en bon état ou présentent des signes de détérioration. Un professionnel pourra juger du niveau de risque associé.Définir les mesures à mettre en place : Selon le diagnostic, différentes solutions sont envisageables, comme la surveillance périodique de l’état des matériaux, leur confinement pour éviter la dispersion des fibres, ou leur retrait total dans les cas les plus à risque.Faire appel à des professionnels certifiés : La manipulation, l’enlèvement ou la neutralisation de l’amiante ne doit jamais être effectué par soi-même. Seuls des experts disposent des compétences et du matériel nécessaires pour intervenir en toute sécurité et conformément à la réglementation.Des étapes essentielles avant tout projet immobilierQue ce soit pour vendre, acheter ou engager des travaux dans un bâtiment ancien, le passage par un diagnostic amiante devient obligatoire. Cette démarche est encadrée par la loi et doit être confiée à un spécialiste agréé, garantissant ainsi un examen approfondi et des recommandations adaptées à chaque situation.Être accompagné pour sécuriser son bienParce que la gestion de l’amiante ne s’improvise pas, il est essentiel de se faire accompagner par un professionnel reconnu. Un expert pourra assurer la prise en charge du repérage, la surveillance et, si besoin, le suivi des opérations de retrait ou de confinement. Cette assurance permet de protéger les occupants comme les intervenants des risques sanitaires liés à l’amiante.En résuméUn diagnostic amiante positif requiert attention et réactivité. En identifiant précisément les matériaux concernés et en suivant les recommandations d’un spécialiste, il est possible de garantir un environnement sain tout en se conformant aux obligations réglementaires en vigueur.

Le permis de louer en Provence-Alpes-Côte d’Azur : un outil pour la qualité du logement
Publié le 24 Octobre 2025

Le permis de louer en Provence-Alpes-Côte d’Azur : un outil pour la qualité du logement

Face à la montée de l’habitat indigne et dans le but de protéger les locataires, de nombreuses communes de Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) ont adopté le dispositif du permis de louer. Ce mécanisme permet de contrôler la conformité des logements avant leur mise en location, en s’appuyant sur la loi ALUR, et traduit la volonté locale de s’assurer que seuls des logements décents peuvent être loués.Pourquoi mettre en place le permis de louer ?Beaucoup de propriétaires souhaitent louer rapidement, parfois sans vérifier si leur logement répond aux critères de salubrité, de sécurité et de confort minimum. Grâce au permis de louer, la mairie vérifie le bien au préalable et protège ainsi les locataires contre les risques liés à un logement dégradé ou dangereux. Si le logement ne respecte pas les normes, l’autorisation de louer sera refusée, contraignant le propriétaire à prendre les mesures nécessaires.Procédure et sanctionsLe propriétaire doit déposer une demande préalable d’autorisation avant la mise en location. La collectivité procède éventuellement à une visite de contrôle. En cas de non-respect ou d’absence de permis, une amende (jusqu'à 15 000 €) peut être appliquée. Cette démarche protège l’ensemble du parc immobilier locatif et responsabilise les bailleurs.Bénéfices pour tousProtection des occupants : seuls les logements sains sont loués.Valorisation des biens : un logement contrôlé prend de la valeur.Responsabilisation des bailleurs : obligation de remettre en état un bien dégradé avant de louer.Communes concernées par le permis de louer en Provence-Alpes-Côte d’AzurAlpes-de-Haute-Provence (04)ManosqueAlpes-Maritimes (06)CabrisGrasseVilleneuve-LoubetBouches-du-Rhône (13)Aix-en-ProvenceArlesAubagneAuriolBarbentaneCabannesChâteaurenardCiotatGardanneIstresMarignaneMarseilleMartiguesOrgonPort-de-BoucRognonasSeptèmes-les-VallonsTarasconVar (83)BrignolesDraguignanLorguesMuySalernesSeyne-sur-MerVidaubanVaucluse (84)CaderousseCarpentrasCavaillonIsle-sur-la-SorgueOrangePertuisTour-d’AiguesPour toute location dans ces communes, le permis de louer est obligatoire : renseignez-vous auprès de votre mairie pour le respecter !

Simulation DPE 2026 : une étape clé avant la vente immobilière
Publié le 23 Septembre 2025

Simulation DPE 2026 : une étape clé avant la vente immobilière

Une nouvelle approche du DPE à partir de 2026A partir du 1er janvier 2026, le diagnostic de performance énergétique (DPE) va être revu, avec une réforme qui concerne de nombreux logements en France. L’évolution principale porte sur la modification du coefficient d’énergie primaire (CEP) de l’électricité, qui passera de 2,3 à 1,9. Cette modification, officialisée par le gouvernement pour l’année 2025, aura un impact significatif sur le classement énergétique des habitations, en particulier celles qui utilisent l’électricité comme principal mode de chauffage.Des conséquences majeures pour les logements chauffés à l’électricitéCette révision permettra à près de 850 000 logements, selon les estimations officielles, de quitter les classes énergétiques F et G, souvent associées aux “passoires thermiques”.Certains propriétaires constateront une amélioration notable du classement de leur bien, notamment pour les surfaces plus modestes qui pourraient gagner une à deux classes.La valeur des logements alimentés à l’électricité bénéficiera de cette réforme, offrant de meilleures perspectives lors de la mise en vente ou en location.Anticipez la réforme grâce à un simulateur en lignePour aider les propriétaires à y voir plus clair avant l’entrée en vigueur de cette modification, il existe des simulateurs gratuits conçus pour estimer la nouvelle étiquette qui serait attribuée à un logement selon les critères de 2026. Cet outil simple d’utilisation permet, en quelques secondes, d’obtenir une estimation du futur classement énergétique. Il devient alors facile d’anticiper si votre maison ou appartement sortira bientôt de la catégorie des passoires énergétiques, ou bénéficiera d’une meilleure valorisation lors d’une transaction.En s’appuyant sur ces simulations, chacun peut préparer sereinement ses projets immobiliers et adapter sa stratégie, que ce soit pour vendre, louer ou entreprendre des travaux de rénovation.Pourquoi effectuer une simulation sans attendre ?La législation actuelle prévoit l’interdiction progressive de louer des biens classés F et G. S’informer dès aujourd’hui, c’est éviter de mauvaises surprises dans un futur proche.Grâce au nouveau mode de calcul, de nombreux logements chauffés à l’électricité verront leur valeur augmenter, offrant de meilleures opportunités pour les propriétaires vendeurs.En anticipant la réforme, il devient possible d’agir en connaissance de cause, de mieux cibler les travaux d’amélioration énergétique et d’optimiser la gestion de son patrimoine immobilier.Un accompagnement d’experts pour réussir votre transitionPlusieurs professionnels, spécialistes du diagnostic immobilier, proposent non seulement des outils de simulation fiables, mais aussi un accompagnement personnalisé. Ils peuvent réaliser des diagnostics complets, vous conseiller sur les moyens d’améliorer la performance énergétique de votre bien et vous guider pour valoriser au mieux votre logement sur le marché.La réforme du DPE 2026 représente une étape déterminante pour l’attractivité du secteur immobilier, surtout pour les habitations utilisant l’électricité. En utilisant dès aujourd’hui un simulateur en ligne, vous pouvez prendre une longueur d’avance sur cette évolution et sécuriser vos projets futurs.Pour évaluer gratuitement le nouveau classement énergétique de votre logement et mesurer l’impact de la réforme sur votre patrimoine, rendez-vous sur le simulateur dédié :Calculez votre nouvelle étiquette DPE ici.

DPE 2026 : conséquences pour les professionnels du bâtiment
Publié le 07 Août 2025

DPE 2026 : conséquences pour les professionnels du bâtiment

Un changement de méthodologie pour le DPE dès 2026Le gouvernement prévoit de modifier la prise en compte de l'électricité dans le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) à partir du 1er janvier 2026. Le coefficient de conversion de l'électricité, qui permet de traduire l'énergie consommée en énergie primaire, passera de 2,3 à 1,9. Cette révision fait suite aux recommandations européennes et fait écho à une précédente modification survenue en 2020 pour s’adapter à l’évolution du mix énergétique en France, où une part croissante d’électricité provient des sources renouvelables.Des effets immédiats et concrets sur le parc immobilierCette mise à jour du coefficient aura des répercussions notables sur l’évaluation de la performance énergétique des logements. Premièrement, de nombreux logements chauffés à l’électricité verront spontanément leur classement DPE s’améliorer, sans qu’aucune intervention ou travaux n’aient été réalisés. Ainsi, environ 850 000 habitations ne seront plus considérées comme « passoires thermiques » uniquement grâce à ce changement dans le mode de calcul, et non par une amélioration effective de leur efficacité énergétique.Toutefois, ce nouveau mode d’évaluation soulève plusieurs préoccupations. D’une part, il pourrait renforcer la préférence pour les systèmes de chauffage tout-électrique, au détriment d’autres solutions performantes telles que les chaudières au biogaz, les pompes à chaleur hybrides ou les dispositifs utilisant une boucle d’eau chaude. D’autre part, le lien entre le DPE et la réalité des factures d’énergie des occupants risque de s’en trouver encore plus distendu, puisque celles-ci reposent sur la consommation en énergie finale, différente de celle traduite par le coefficient du DPE.Par ailleurs, les propriétaires bailleurs pourraient constater un relèvement de leur classement énergétique sans effort particulier. Cette situation pourrait freiner leur volonté d’investir dans des rénovations profondes, avec un risque de ralentissement de la dynamique initiée ces dernières années en faveur de la rénovation du parc immobilier.Des enjeux majeurs pour les professionnels du bâtimentPour ceux qui œuvrent dans le domaine du bâtiment, cette réforme s’accompagne de plusieurs défis. Beaucoup d’artisans, notamment ceux engagés dans des démarches de rénovation globale, pourraient voir leurs efforts moins reconnus. Les repères pour les particuliers risquent aussi de devenir plus flous, ce qui n’est pas sans conséquences sur la confiance des ménages dans la pertinence des travaux à effectuer.D’après certains représentants du secteur, comme la CAPEB, cette mesure pourrait également compromettre les objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), qui vise à réduire significativement les émissions du secteur du bâtiment. Une modification des critères du DPE, en l’absence de stabilité et de cohérence, risque de brouiller les messages auprès du grand public et des professionnels quant aux réelles avancées en termes de performance énergétique.La nécessité d’une approche équilibrée et transparentePour garantir l’efficacité des politiques de rénovation énergétique, il est crucial que les outils réglementaires comme le DPE restent compréhensibles, justes et fiables. Une réflexion collective s’avère indispensable pour anticiper les conséquences de toute évolution de la réglementation et pour maintenir la confiance de l’ensemble des acteurs de la filière.Les professionnels du bâtiment, au cœur de la transition énergétique, continueront d’accompagner aussi bien les particuliers que les collectivités. Leur expertise et leur engagement demeurent essentiels pour promouvoir une rénovation énergique à la fois ambitieuse, équitable et bénéfique à long terme pour l’ensemble du parc immobilier français.